supported by 16 fans who also own “Chapter VI - Lethe”
An interesting fusion of black metal and jazz, with inspiration from various other forms of metal. There is a lot to like here, and many pleasant surprises. However, it does not always seem to form a cohesive whole. spawnofchaos
supported by 14 fans who also own “Chapter VI - Lethe”
"La mort n'existe ni pour les vivants ni pour les morts" écrivait Épicure et ça reste toujours vrai : personne ne peut en faire l'expérience — sauf NONE, formation américaine qui en a fait son leitmotiv. Les membres du groupe sont inconnus et son premier album n'a pas de nom ; même le paysage sur la pochette est vaporeux. Si le DSBM est déjà d'une tristesse funèbre qui serre le cœur, les passages atmosphériques donnent à entendre les âmes en peine de l'autre côté du voile. Un début magistral... Jordan Vauvert
supported by 13 fans who also own “Chapter VI - Lethe”
wild years of remorse and failures est un office des ténèbres moderne : à la place des lumières qui s'éteignent au fur et à mesure, ce sont les instruments qui disparaissent et le fait que ce soit une compilation des deux premiers albums de stroszek le met encore plus en évidence. les guitares électriques s'évanouissent, les samples se raréfient, la batterie se calme et la folk s'engage toujours plus dans la voie acoustique. même la voix se fait plus fatiguée, spectrale. beau et hypnotique. Jordan Vauvert
Another scorcher from the phenomenal one-man black metal outfit STARER, with mind-flaying riffs and eerie tremolo-picked melodies. Bandcamp New & Notable Jul 31, 2023
Crushing blackened doom from this German band that counterbalances blinding fury with moments of surprising, melancholy melody. Bandcamp New & Notable Jul 8, 2023
supported by 13 fans who also own “Chapter VI - Lethe”
On ne frappe pas un homme à terre : c'est ce que dit la règle mais NONE a déjà prouvé qu'il ne les suivait pas et si son album éponyme retirait toute perspective de béatitude spirituelle, Life has gone on long enough, son deuxième opus, nous interdit l'accès au bonheur terrestre. La vie n'a aucune substance et la production plus distante le confirme. Le DSBM s'empare de textures sonores blues, mettant en relief une dépression urbaine. Les cris partent en fumées : ne restent que les pleurs... Jordan Vauvert